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Le Mont Darfer

Le Mont Darfer d'Ejiom Suel à lire sans modération.

En vente chez ediivre.com

montdarf-rec-et-ver.jpg

Le petit nouveau "Au bout du compte"

né le 24 janvier 2011

chez edilivre.com  

Image 8-copie-1

4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 08:06
Quand je dis pour toutes les Tinette, il en est une tout particulièrement que je porte dans mon coeur et à qui je dédie ce tirage :

Aïe-aïe-aïe-aïe, ça remue pakunpeu dans votre vie. Oui ben c'est komsa ! Impossible d'y échapper. Un conseil : Même si elle est bien cachée tout au fond de votre plus profond "moi", je sais qu'elle est là ! Alors utilisez votre sagesse pour affronter le dragon ! Votre meilleure amie sera votre meilleure exemple. Comme elle,  vous planterez votre épée dans le coeur du dragon et vous repartirez grandie sur le chemin débroussaillé de votre existence. Alors votre insouciance, votre extravagance et votre joie de vivre s'exprimeront sans plus de restriction. Je vois même les soucis matériels complètement disparus???
et comme dit Raoul à Mickael : "Toi et moi contre les imbéciles".  
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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 07:47

J’ai mouru.


J’ai mouru l’autre soir.
Mouru.

Plus te voir.
Plus d’espoir.

J’pouvais plus, j’voulais plus, j’savais plus.

Bonsoir !

J’ai voulu m’en aller.

Il faut pas m’en vouloir.

Aimer….

Jusqu’à la….

Aimer….

Même….même mal….


J’ai pas aimé mourir.

Mais véquir sans t’issoir, c’est bra pieu, c’est prein tir !

Viens donc voir mon malhoir.
Viens me faire ressourir.
Reviens sur mon grimoir !


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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 07:45

Cœur nu.


Une rumeur monte.

Tu pleures des larmes jaunes.

Humeur de ton amour perdu.

Tu pleures !

Fantômes et revenants,

Draps blancs du souvenir,

Te hantent !

Leur chant s’égrène,

Notes de testament

Au vent de tes soupirs.

Miroir du désespoir,

Poésie de ton corps

Penché sur l’écritoire,

Tu fanes !

Cercueil ou coffre-fort ?
L’amour est mort !


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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 07:37

Pierre est là !

Il es triste, me trouvant trop heureuse !

Il craint pour mon retour !

Au poète, il en veut de ne m’avoir pas dit, qui il était vraiment …

J’avais bien deviné, m’étais trompée pourtant !

Et il m’a tout volé, mon histoire et ma vie.
Je lui ai même laissé, ce goût et cette envie de partir loin d’ici !

Higerel !

Ne l’ai point reconnu, éloignée que je suis de tout ce qui se fait, de tout ce qui se dit…

Je connais des chansons, je sais quelques poèmes, mais n’avais jamais vu ce visage, qui même sur les affiches fleurissant de partout, ne ressemble en rien au regard si doux, au sourire, au…

Mais à quoi bon rêver, et Pierre le sait bien, je me suis fait voler, me reste mon chagrin…




*****


Toc toc toc ! On frappe !

Trop prise par ma peine, ne pense pas à répondre.

A nouveau trois coups secs contre la porte sombre.

C’est Pierre qui se lève pour tirer le battant   


« Que la casquette lui va bien en ce crucial instant ! 


C’est alors que l’image d’un homme se dessine. Non, pas d’un homme, un poète, je le devine en voyant cette main qu’il tend déjà vers moi, ces vêtements si simples, le son de cette voix qu’un tout petit accent vient égayer narquois …


- je reviens te chercher, me dit-il simplement. Je voyage beaucoup, si tu aimes le vent,la pluie et le soleil aux abords des chemins, parcourons-les ensemble et donnons-nous la main !


Ejiom Suel.  

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31 octobre 2009 6 31 /10 /octobre /2009 08:12
Bienvenue ! Tout y est dit !
L'origine de ce prénom ?
Allez, pour une fois je ne m'attacherai pas à la réalité historique des faits et je me laisserai envisager une définition personnelle ... 
Bienvenue fut l' enfant unique née d'un couple pour qui l'amour était le fondement d'une  relation forte et durable. Elle vint au monde de nombreuses années après leur mariage... Ce qui pourrait éventuellement induire en erreur , car en fait ce ne fut pas le prénom que les parents choisirent en premier lieu !  Ils l'appelèrent  Lucette, ( nous  y reviendrons le 8 janvier et évoquerons   la vie de la fameuse  qui eu son heure de célébrité  dans les années 2000 avec un jeu de hasard qui lui fit faire le tour du monde) mais revenons à notre douce enfant,  dotée d'un physique si gracieux et d'un caractère si plaisant que partout où elle allait , elle répandait, bonheur, bien-être et joie profonde. Bienvenue,  lui fut communément attribué de par la jovialité et l'immédiate sensation de bonheur qu'elle apportait aux gens qu'elle rencontrait.
Si, si c'est vrai ! 
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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 10:20

- Ne serais-je pas seule sur cette île déserte ?

- Aurais-tu par bonheur, toi aussi, fais naufrage ?

- J’ai bien failli mourir avant que d’arriver au creux de cette plage ! Mon bateau a coulé, happé par une sirène !

- Ne pleure plus moussaillon, serai ton capitaine , au gué, au gué, serai ton capitaine !

Il me prend par la main, m’aide à me relever…

- Hissons haut la grand’voile. J’ignore tout des parages.. Connaîtrais-tu un port où déposer bagages ?

- A quelques pas d’ici, j’ai loué une amarre. Nous y s’rons à l’abri de tout ce tintamarre !


Il est grand, pas très beau, mais son regard pur et si plein de rivages, me plaît ! Je m’y sens bien, je m’y sens en voyage. Autour de son visage, des boucleus de soie tombent avec harmonie. La moustacheu parfois révèle l’ironie que ses yeux malicieux en clignant me dévoilent. Un homme charmant, non pas un homme, un poète, je le sens ! Je le sens au contact de sa main, souple, qui attrape mon bras, à sa démarch’flottante, à ses vêteuments simples, à sa voix, qu’un tout petit accent vient égayer narquois …

Au revoir rà toi Pierre, que j’aperçois d’ici, en pleineu discussion avec quelqueu zamis. je te laisse poursuivre cetteu belleu soirée, sans oublier tout’fois de te remerciier de m’avoir forcée à t’y accompagner, puisque ça m’a permis, bonheur inespéré, de rencontrer un prince dont les yeux ont déjà su éveiller mon coeur et fait poindre ten moi une vagueu de bonheur, un élan de tendresse… Et bientôt je frissonne sous la douceu caresse de ce regard clair qui m’env’loppe et m’emporte au coeur de l’univers dont il ouvre les portes…

(un peu longuet comme phrase mais c’est pour montrer la douceur qui enveloppe les deux personnages de laquelle ils ne vont  plus avoir envie de sortir. j’esplique au cas où. c’est comme les terminaisons en eu ou les liaisons accentuées, c’est pour les rimes…  Maintenant que vous avez pris l’habitude, je vais continuer normalement) 



- Ne serais-je pas seule sur cette île déserte ?

- Aurais-tu par bonheur, toi aussi, fais naufrage ?

- J’ai bien failli mourir avant que d’arriver au creux de cette plage ! Mon bateau a coulé, happé par une sirène !

- Ne pleure plus moussaillon, serai ton capitaine , au gué, au gué, serai ton capitaine !

Il me prend par la main, m’aide à me relever…

- Hissons haut la grand’voile. J’ignore tout des parages.. Connaîtrais-tu un port où déposer bagages ?

- A quelques pas d’ici, j’ai loué une amarre. Nous y s’rons à l’abri de tout ce tintamarre !


Il est grand, pas très beau, mais son regard pur et si plein de rivages, me plaît ! Je m’y sens bien, je m’y sens en voyage. Autour de son visage, des boucleus de soie tombent avec harmonie. La moustacheu parfois révèle l’ironie que ses yeux malicieux en clignant me dévoilent. Un homme charmant, non pas un homme, un poète, je le sens ! Je le sens au contact de sa main, souple, qui attrape mon bras, à sa démarch’flottante, à ses vêteuments simples, à sa voix, qu’un tout petit accent vient égayer narquois …

Au revoir rà toi Pierre, que j’aperçois d’ici, en pleineu discussion avec quelqueu zamis. je te laisse poursuivre cetteu belleu soirée, sans oublier tout’fois de te remerciier de m’avoir forcée à t’y accompagner, puisque ça m’a permis, bonheur inespéré, de rencontrer un prince dont les yeux ont déjà su éveiller mon coeur et fait poindre ten moi une vagueu de bonheur, un élan de tendresse… Et bientôt je frissonne sous la douceu caresse de ce regard clair qui m’env’loppe et m’emporte au coeur de l’univers dont il ouvre les portes…

(un peu longuet comme phrase mais c’est pour montrer la douceur qui enveloppe les deux personnages de laquelle ils ne vont  plus avoir envie de sortir. j’esplique au cas où. c’est comme les terminaisons en eu ou les liaisons accentuées, c’est pour les rimes…  Maintenant que vous avez pris l’habitude, je vais continuer normalement) 



*****



Nous sortons !

Que vais-je découvrir auprès de cet homme qui me prend par le bras ? Dès lors, je retiens mon souffle, émue, consciente de l’importance des minutes à venir, minutes historiques qui peut-être…



*****




Et nous avons refait le chemin à l’envers. Partant de chez Lumbro, pour un autre univers. Et nous avons marché dans la rue enneigée où nos pas maladroits tentaient de nous mener. Et je me suis blottie sous son aisselle chaude, où, le temps du voyage, je rêve, je baguenaude… Dès que nous arrivons dans mon antre douillet, que seule une bougie, de sa flamme éclairait, le poète, si cher déjà à mes pensées, s’assied sur mon lit et se met à fixer l’image de ce monde où j’ai peu voyagé mais qu’il semble connaître comme si il y était né !!!  Son regard, parfois, s’allume d’un sourire dont j’aimerais pouvoir lire le souvenir, l’image qui s’éveille à la vue des pays, des villes, des océans qui sont notés ici.

Nous buvons sans rien dire, un bon café brûlant, nous réchauffant des yeux tout en le dégustant.  Un long moment s’en suit, où nous restons assis, apprenant plus de nous et de nos coeurs transis qu’avec cent histoires ou avec mille mots qu’il eut fallu chercher pour se donner l’écho . Puis nous sommes partis pour un autre rivage. Sans s’en apercevoir. Comme on tourne les pages d’un livre si prenant, qu’on le parcourt d’un trait, chapitre après chapitre,  sans en levez le nez ! Dès lors que sur la terre nous sommes de retour, son regard à nouveau m’enveloppe de velours. Hypnotisme de douceur, curiosité d’un coeur. Il veut tout savoir. Où je ris, où je pleure, où j’en suis dans la vie, ce que je veux y faire ? Pourquoi ce soir, là-bas, étais-je si solitaire ? Qu’étais-je venue chercher dans cette désillusion où traînent tant de paumés gonflés comme des ballons ?  Etais-je de Lumbro une amie “attitrée” ? Un voile d’inquiétude dans son regard naît ! Plus soucieux que personne, pour moi, ne le fut jamais ! Et je me laisse aller à mille confidences, entrecoupées parfois, par de très longs silences dans lesquels mon esprit réalise soudain que pour la première fois, on me donne la main…  Un homme est près de moi, non pas un homme, un poète qui est là, qui m’écoute ! L’attention qu’il me prête n’est ni feinte, ni trompeuse, ni même intéressée. Je sais que mon histoire l’émeut, le satisfait ! Il rit, il s’attriste, parfois même se révolte aux faits que je lui dis, aux phrases que je rapporte ! Les heures passent et s’écoulent et moi je continue à parler, je me vide, je mets mon coeur à nu. Qu’il est bon pour un soir de renverser les rôles, de le voir là, rêveur, prêt à prendre l’envol. Habituée à piquer aux autres leurs histoires, il me plaît pour une fois de faire le miroir. mais les heures ont passé et ont coulé trop vite, déjà le point du jour et le poète hésite… Mais il lui faut partir (une muse doit l’attendre). Me laisse sur un baiser, un regard si tendre… Avant de s’en aller de sa main il griffonne un tout petit poème, flocons qui tourbillonnent… Et dans ces quelques vers, il me dit un amour. Il me dit qu’il faut croire aux choses comme j’y crois, ne jamais écouter sonner les contre-voix. Qu’il aimerait me garder toujours auprès de lui et qu’après les voyages, si jamais je m’ennuie, laissera grand’ouverte la porte de son coeur où je pourrai venir rechercher mon bonheur qu’en cette nuit étrange j’ai laissé en caution.

Et il s’en va doucement avec mille précautions !

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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 08:53
Ingrédients : 
- un  connard avec chapeau feutre, écharpe blanche et manteau de gigogne.
- une entrée ou une sortie de musée, c'est égal.
- un kilo de jsétou
- une branche de matuvu
- une grosse gousse de jyétaie 
- un p'tipeu de vinaigre de vin
- et  une bonne dose de patience

Préparation :
Prenez un bon connard avec un abonnement à l'année aux musées de France. Ce sont les meilleurs.
Le choisir devant un tableau de Picasso, voire Klee, et le laisser s'exprimer.
En profiter pour faire fondre lentement à feu doux la dose de patience dans un peu de vinaigre de vin . Ne retirer du feu que quand ça pique les yeux.
Trancher très grossièrement le kilo de jsétou, la branche de matuvu et la grosse gousse de jyétaie. jeter le tout dans la sauce en attente. Dès lors , la dexterité du cuisinier est mise à rude épreuve... 
Profiter d'un silence du connard (c'est très rare et très dur à saisir, mais c'est de là que découle la réussite de la recette) lui enfoncer le plus rapidement possible le chapeau sur les yeux. L'effet de surprise va saisir les chairs et les rendre plus fermes, celles-ci étant en général blanchâtres et flasques chez le connard d'exception. Dès que, il suffit d'embrocher l'animal comme tout meckisrespekte, le laisser tourner lentement au-dessus d'un feu régulièrement alimenté par les dernières niouses du wouzewou et attiser sans excès  aux souffles de machèèère, monaaami, vouziétié..

Un conseil, avant d'entrer en dégustation d'un tel met, prenez soin de bien choisir le lieu et le jour. Personnellement, j'ai eu la chance d'en apprécier un devant le Grand Palais (une heure et demie d'attente mais ça valait le coup !) lors de l'expo  "Picasso et les maîtres" Un régal ! Je vous le conseille ! En ce moment, vous pourrez trouver les meilleurs connards  avec jeff Koons à Versailles et comme toujours, au Louvre où il en traîne régulièrement. Ce ne sont pas les plus frais mais sûrement les plus lourds , acheté à l'unité on y gagne!
  
 
 
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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 08:51
29 octobre dans le brouillard, Toussaint trois jours plus tard. 
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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 08:31
Le saviez-vous ?
Narcisse était le fils d'un Dieu et d'une nymphe célèbre pour sa beauté.
Méprisant l'amour, il tomba amoureux de sa propre image dont il vit le reflet dans l'eau d'une fontaine. Incapable de la saisir il se laissa mourir et à l'endroit de sa mort, poussa une fleur qui porte son nom .  
D'où,  tous les dérivés:
Narcissique : n'aimer que le propre reflet de son image, ce qui est encore plus fort que de ne s'aimer que soi !
Narcipiale : issue de l'union de deux êtres désireux de se recréer eux-même. Ce qui engendre obligatoirement des bagarres entre les parents au départ et entre les parents et les enfants dès que ceux-ci sont en âge de se regarder dans un miroir...
Narcissitude : effet de lassitude de se trouver trop beau, trop bien ,trop trop. On a remarqué que ce passage à vide, chez tout narcissique qui se respecte, était de très courte durée .
Narcissement : Façon de faire qui implique une très haute idée de soi et vice versa !
Et  pour conclure :
Narciale : Qui ne veut rien dire du tout. Mot du à l'erreur  d'un copiste  du moyen âge qui confondait le N avec le M et le C avec le T ...  
 
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25 octobre 2009 7 25 /10 /octobre /2009 09:50
Eh oui, par quel coup de passe-passe cela est-ce-t-il possible ? Ce matin je me suis réveillée à 10 heures et je me suis levée à 9 . Bon, n'allez pas imaginer qu'il est dans mes habitudes de me lever aussi tard mais hier soir on a fait une  fête du tonnerre ! Les 60 ans d'une des aoussewouaffes ! La plus vieille d'ailleurs... Une superbe soirée comme elle seul sait les organiser. pas de temps morts, pas une seule minute laissée à la pause sur image, que de l'action, de l'action et encore de l'action... Pendant l'apéro on te propose de trouver deux personnes que tu ne connais ni d'Eve ni d'Adam mais qui semble-t-il auraient deux points communs avec toi. Du coup les "unpeulent" (j'en connais) , n'ont pas le temps de boire leur petit verre d'aligoté, ni même de goûter aux cakes salés, tourte aux poireaux ou autres tapenade maison... Vers neuf heures, t'as toujours pas trouver tes frères de fête, tu crèves de faim et on te propose gentiment de te mettre à ta table... 
" A TABLE "
Un bourguignon aux carottes maison ? Humm !
Et ben non, il est là dans ton assiette, tout chaud, tout odorant et la soeur de l'hôtesse décide d'un petit poème pour t'inviter à la dégustation... Un p'tit quart d'heure où la merveille qui dort dans ton assiette prend tout le temps qu'il lui faut pour refroidir. Un boeuf bourguignon froid, t'as déjà goûté !!!
Et toute la soirée se passe ainsi, quiz où tu dois reconnaître des lieux qui soi-disant te sont familiers, danse des femmes ou tu t'épuises entre la viande et le fromage,  cours de kiné par la p'tite soeur, ah, un Madison, ça fait du bien... Et vas-y que je te passe des diaporama aux images toutes plus symboliques les unes que les autres, et vas-y que j'en remets une couche avec un de quinze minutes... et la chanson sur la vie de la soixantenaire et la fausse Annie Cordy , et, et ,et.... Et en fin de compte une soirée réussie à cent pour cent, où tu te retrouves à 2 heures du matin, sans  t'être ennuyé une seule petite seconde... Merci à toi
Bree, à ton don de l'organisation et bon anniversaire !
Oh mis au fait, j'ai pas répondu à la question, savez-vous comment on peut se lever à 10 heures et se réveiller à 9... Le jour du changement d'heure eh banane !  
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