Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le Mont Darfer

Le Mont Darfer d'Ejiom Suel à lire sans modération.

En vente chez ediivre.com

montdarf-rec-et-ver.jpg

Le petit nouveau "Au bout du compte"

né le 24 janvier 2011

chez edilivre.com  

Image 8-copie-1

6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 11:14

IMGP3911.JPG

Ils sont en pleine floraison et en plus d'être belles, leurs fleurs peuvent être cuisinées en beignets et c'est un délice. Leur goût légèrement sucré donnent aux beignets classiques une petite idée du paradis. 

La recette...

Hyper fastouche comme dirait mon petit fils.

Tu fais une pâte à crêpes.

250 g de farine

3oeufs

50 g de sucre en poudre

50 g de beurre fondu

250 cl de lait. 

Bien respecter les proportions... Personnellement je fais toujours au "pot"... 

Quand la pate est prête, aller cueillir une vingtaine de fleurs d'acacias... Attention l'affaire peut être dangereuse car les acacias sont souvent hauts et de fait leurs fleurs difficilement accessibles. Il y en a en bord de rivière parfois mais, là encore, téqueu caire bicose  you cane fole inze ouateur !!! 

Dès lors que la cueillette a réussi sans trop de bobos, reviendre à la maison, passer les fleurs oundeur ze ouateur et les tremper délicatement dans la pâte préalablement préparée !!! 

Oups j'avions zoublier. Mettre de l'huile dans une belle grosse poèle, la faire chauffer et seulement déposer les fleurs zimprégnées de pâtes dans le liquide jusqu'à ce qu'elles prennent une belle couleur dorée ! 

Image-4-copie-6.png  Image-3-copie-9.png

Et voilà, c'est tout simple. Reste plus qu'à vous régaler... Vous m'en donnerez des nouvelles. Bisous et si hiou soune. 

What a têtenlère I am ! 

Le meilleur dans l'histoire est la façon de déguster ces petits bijoux. Tu saisis le bout de la queue de la fleur qui dépasse, tu introduis la totalité du beignet dans ton orifice buccale et tu tires lentement sur le petit morceau de bois afin que chaque  fleur tombe sur ta langue et qu'il ne reste que la queue principale et les petites queutioles entre ton pouce et ton index...  HUMMMMM ! Ca ne se raconte pas, ça s'expérimente !   

Partager cet article
Repost0
19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 14:23

Amoureux des pâtes, voire des pâtes fraîches !!!

Une seule adresse : www.pastagisa.com.

Yanna déki onlache anse dès treu sona mi !!! 

Nous avons donc passées un après-midi chez Pastagisa où nous avons appris à confectionner la meilleure pâte pour faire des pâtes fraîches et des bugnes et pendant koni été, onafé des Chouros !!! J't' raconte pas les kilos !!! (ça c'est pas vrai, les pâtes ne font pas grossir, voir le site de mon amie et son article sur La Calas) 

pour une personne 100g de farine et 1 oeuf ! 

IMGP3361  

 

 

 

 

 IMGP3362

IMGP3363  IMGP3364

Passer, repasser et re-repasser encore et encore dans la célèbre machine "Titania"  jusqu'à ce que la pâte ait une jolie couleur paille et lisse...

IMGP3365

IMGP3366 IMGP3367 IMGP3369

Etendre les plaques sur ce superbe petit étendoir en bois naturel de ... Sépu...  que vous trouverez en vente sur le site pastagisa

IMGP3360

et oh merveille, oh magie... Nous assistons à la naissance de bellissima-o (?)  tagliatelles...

IMGP3369      IMGP3370

IMGP3371 IMGP3372

Prêtes pour la cuisson, elles n'attendent plus qu'une casserole d'eau bouillante légèrement salées pour s'offrir à votre bon plaisir gustatif. 

IMGP3374

A savoir qu'en ajoutant une cuillère de sucre en poudre à la pâte que nous venons de réaliser vous confectionnerez de délicieuses bugnes légères et dorées dont les enfants raffoleront pour leur goûter !!!

 IMGP3375

Et si on jouait avec les couleurs ??? Quelques gouttes de colorant alimentaire naturel et voilà :

IMGP3377 IMGP3378-copie-1.JPG

Chouros, vous avez dit Dit Chouros...

Une petite machine toute simple, un tube et quelques embouts. Une tasse de farine sur laquelle vous verser une tasse d'eau bouillante... Une huile de friteuse et, et, et... 

IMGP3379 IMGP3381

IMGP3383

Bon appétit !

 

Partager cet article
Repost0
16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 12:51

Résolution du 17 avril au matin : Retrouver un ventre plat avant la dernière semaine de mai et, si possible, le conserver !

Les bonnes excuses : l'âge : 56 ! Les transformations physiques qui s'opèrent immanquablement  : ménopause ! l'envie irrésistible qui se manifeste à intervales réguliers de croquer un carré de chocolat... 

CA SUFFIT !

Avec un peu de volonté et on s'aperçoit très vite qu'une salade est aussi bonne qu'une assiette de charcuterie ( rien qu'en écrivant char-cute-rie l'eau m'en vient à la bouche.) Des légumes verts cuits vapeur ont autant de saveur qu'un bon plat de pâtes recouvertes de gruyère fraîchement rapé et qu'une pomme est tout aussi savoureuse qu'une religieuse au chocolat ! 

MON ASSIETTE pour midi :

salade verte cocombres et champignons de paris (crus) coupés en fines lamelles arrosés d'un peu d'huile d'olive, citron persil sel et poivre. 

filet de lieu noir ou autre poisson grillé avec haricots verts.

Pomme ou banane. 

galettes de riz à la place du pain. 

Mon ASSIETTE pour ce soir...

Nous recevons des amis donc...

Paté de poisson à la mayo

Barbecue (saucisses, mergez, andouillettes)

salade

tarte aux prunes et tarte aux pommes... 

Dimanche je repars sur mes bases diét... Je vous donnerez des trucs au fur et à mesure que je les testerai et vous tiendrai au courant de ma courbe de poids. 

Ce matin on part sur 64 kg. 

Partager cet article
Repost0
29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 08:53
Ingrédients : 
- un  connard avec chapeau feutre, écharpe blanche et manteau de gigogne.
- une entrée ou une sortie de musée, c'est égal.
- un kilo de jsétou
- une branche de matuvu
- une grosse gousse de jyétaie 
- un p'tipeu de vinaigre de vin
- et  une bonne dose de patience

Préparation :
Prenez un bon connard avec un abonnement à l'année aux musées de France. Ce sont les meilleurs.
Le choisir devant un tableau de Picasso, voire Klee, et le laisser s'exprimer.
En profiter pour faire fondre lentement à feu doux la dose de patience dans un peu de vinaigre de vin . Ne retirer du feu que quand ça pique les yeux.
Trancher très grossièrement le kilo de jsétou, la branche de matuvu et la grosse gousse de jyétaie. jeter le tout dans la sauce en attente. Dès lors , la dexterité du cuisinier est mise à rude épreuve... 
Profiter d'un silence du connard (c'est très rare et très dur à saisir, mais c'est de là que découle la réussite de la recette) lui enfoncer le plus rapidement possible le chapeau sur les yeux. L'effet de surprise va saisir les chairs et les rendre plus fermes, celles-ci étant en général blanchâtres et flasques chez le connard d'exception. Dès que, il suffit d'embrocher l'animal comme tout meckisrespekte, le laisser tourner lentement au-dessus d'un feu régulièrement alimenté par les dernières niouses du wouzewou et attiser sans excès  aux souffles de machèèère, monaaami, vouziétié..

Un conseil, avant d'entrer en dégustation d'un tel met, prenez soin de bien choisir le lieu et le jour. Personnellement, j'ai eu la chance d'en apprécier un devant le Grand Palais (une heure et demie d'attente mais ça valait le coup !) lors de l'expo  "Picasso et les maîtres" Un régal ! Je vous le conseille ! En ce moment, vous pourrez trouver les meilleurs connards  avec jeff Koons à Versailles et comme toujours, au Louvre où il en traîne régulièrement. Ce ne sont pas les plus frais mais sûrement les plus lourds , acheté à l'unité on y gagne!
  
 
 
Partager cet article
Repost0
4 octobre 2009 7 04 /10 /octobre /2009 10:07
préparation: peut demander une vie entière.
cuisson : 66 heures
difficulté : sans si la mentalité s'y prête. 
ingrédients :
 
1 pâte brisée menue  de la marque "coudmatraque" de préférence
1 bon kilo de pourri de corbeau ( dans la tranche, c'est moins franc et plus violent en goût)
2 oignons relevés sous le gros orteil (le relent en est très puissant)
100 Gr de gropied
100 Gr de langue de vipère (ou de pute) c'est égal
1 verre de bave de colle à beau
1 beau piment d'aigrelette bien mûr.
exécution :
1- étendre la pâte au fond d'une marmite de sorcière.
2- faire grillé à feu vif le corbeau pourri préalablement passé à la casserole. mettre en attente.
3- mélanger dans une pièce sombre (l'âme des ingrédients suivant risquerait de s'enfuir en pleine lumière) les oignons, le gropied, la langue et le verre de bave. Bien malaxer et finir au pilon jusqu'à l'obtention d'une vase bien glauque  qui accroche à la cuillère.
4- laisser macérer plusieurs jours sans donner de nouvelles.
5- étaler la viscosité obtenue sur la pâte au fond de la marmite, saupoudrer de quelques pincées du piment d'aigrelette.
6- laisser cuire à feu doux pendant 66 heures.
7- étaler  à la cuillère en bois sur une feuille vierge. Mettre dans une enveloppe  et envoyer à toutes les personnes à qui vous désirez faire du tort, en courrier anonyme bien-sûr. 
Voilà le secret d'un bon soufflé de calomnie au piment d'aigrelette. Essayez le et ne m'en donné surtout pas de nouvelles.
 

 

 
Partager cet article
Repost0
2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 08:23
Dans la rubrique "Ouksébon" nous allons aborder aujourd'hui une recette très simple que je tiens du vieux con de garde champêtre qui sévissait dans mon village quand j'étais petite :
ingrédients:
- une paire de moustaches agrémentée si possible d'un reste de soupe de la veille et de quelques gouttes sèchées de kiravi grancru.
- 18 grammes (attention de bien respecter la dose, ça peut être très fort) de regard vicelard et fuyant.
- une pincée (même remarque au sujet des quantités) de méchanceté. 
Mettre tous les ingrédients dans la tête d'une même et unique personne, en l'occurrence, le père Girot, lui faire emprunter la ruiotte en même temps que les enfants qui se rendent à l'école en prenant le  raccourci dans le sens "INTERDIT". Bien remuer sans laisser le temps de reposer. Flanquer plusieurs aller-retour de la main droite dudit "vieil abruti" sur les joues rougies des pov'gamins et vous avez la meilleure des tartes à la six trouilles (2 part par  enfant) qu'on ait jamais dégusté de mémoire de petits écoliers...  
Partager cet article
Repost0