Pour tous les zamoureux de Bernard Werber et des thanhathonhauthes... Je saurai jamais comment ça s'écrit !!!! On le met où le H ?
Le Mont Darfer d'Ejiom Suel à lire sans modération.
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Pour tous les zamoureux de Bernard Werber et des thanhathonhauthes... Je saurai jamais comment ça s'écrit !!!! On le met où le H ?
Une nouvelle rubrique :
Petites phrases.
«Si tu veux être heureux, sois-le .» Proverbe chinois
Un grand Bravo à Florent.
10 ans après le départ de Sylvain, Florent relevait le défi de finir ce que son frère n'avait pas eu le temps de faire ... Devenir champion de ligue en quad ! Il l'a réalisé en 2011 ! Ce 11 ! Le chiffre de Sylvain .
Première année de compétition en quad avec le N° 311, Florent gagne 11 manches du championnat et devient CHAMPION DE LIGUE ! ... Je vous transcris son message après la course...
«Très bonne journée a Perrigny sur l'ognon 2 manches gagnées = champion de ligue de Franche Comte quad pour la premier année super content merci a tous ceux qui m'ont aidé et soutenu. 11 manches gagnées cette année avec le numéro 11 en 2011 merci grand frère c'est Grace a toi ! »
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C'est après avoir lu l'article paru dans l'Est Républicain sur Florent que je tiens à lui rendre un hommage mérité. Première année de course en quad = bien placé au France et demain finale de la ligue où il a pour l'instant la première place.
Défi relevé en hommage à Sylvain...
Il y a dix ans les deux frères.
Sylvain Florent
Sylvain Florent
Sylvain Florent
Florent l'acrobate !
Elle se cache derrière un écran de saules et de frênes comme pour ne se dévoiler qu'aux plus curieux des promeneurs.
« C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent;... »
C'est ainsi que je peux le mieux la décrire, merci Arthur.
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Un bel après-midi d'automne, ensoleillé avec juste ce qu'il faut de vent d'Est pour te rappeler que l'été est terminé ! Un lieu où tu n'as pas remis les pieds depuis des lustres... Les bains et le Pré Marnoz. Les dimanches après-midi, rugby avec les parents. La voie ferrée désafectée et le barrage avec son clapoutis rafraîchissant. A 10 ans, tu cours, tu joues et tu te baignes mais le paysage passe devant tes yeux sans s'arrêter en laissant toutefois une empreinte au fond de ta mémoire... Et tu la redécouvres cette splendide maison qui surmonte la rivière et l'autre cachée derrière les vernes... Merci ma soeur pour ce voyage au fond de mon enfance.
Je prends plaisir à me promener dans les cimetières. Grands, petits, célèbres ou anonymes, ils cachent tous, derrière leur grand mur d'eceinte, des hommages originaux ...
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Impossible de ne pas terminer par mon épitaphe préférée :
Quand je vous disais que j'étais malade !!
Mais elle est où la vie là d’dans, mais elle est où la vie pour eux ?
15 ans, 20 ans, du whisky, un peu d’shit, le K2 (un p’tit R de famille) tu connais, c’est là qu’ils vont rêver...
Merci Bertrand, merci la vie...
Les allemands pour papa, le sida pour le p’tit, merci!
Et nous les bienheureux, on a quoi ?
Des papas déconfits, des enfants tout pourris...
Et nous les enfoireux on a gâché la vie qu’nos papas pat’defruit avaient perdue pour nous...
Merci !
Toi ma Provence moi ton Québec en une seule personne.
Toi ma Provence en une seule personne toi ma Provence à toi toute seule serai-je un jour ton Québec juste à toi
le cœur me manque face à ton regard si bleu que j’en perds mon fleuve et tout ce que je savais de lui il bat si faiblement à l’envers des aiguilles d’une montre hors du temps
mes genoux ont fléchi face à ta lumière trop vive telle un phare en pleine nuit qui croiserait de près même au large mon regard et resterait là trop intensément à le fixer et mon cœur vois-tu n’aurait pas eu d’autre choix que de céder sous le poids de ta beauté
je dis vague ton absence m'a rendue folle et je te répète de vague en vague et j’erre en faisant du cœur à cœur du bouche à bouche du mot à mot sur tes lèvres que j’entrouvre pour te faire l’amour réel et je me perds en préliminaires et me retrouve en abondance en ce fleuve alangui brûlant de luminosité de ton regard qui me fait baisser les yeux soudainement aveuglés
quelle est cette douleur dans ma poitrine un manque de souffle un manque de toi une basse pression ressentie par ta trop forte présence ayant cumulé en elle tous ces désirs de toi inassouvis tous ces gestes cadenassés en moi qui n’ont eu droit qu’à de rares visites de ta part afin uniquement de se dire et non pas d’être toutes ces danses réduites pendant ce temps à des pas de un à des pas de seule à seule à des mouvements brisés en leur envol dans l’étourdissement de leurs girations incomplètes
j’ai tant essayé de matérialiser tes collines ton mont Sainte-Victoire que j’en ai abstrait mon âme incapable de reconnaître ses propres paysages sacrés
cacherais-tu en toi mon fleuve Saint-Laurent mon Québec tant aimés à force de les avoir si bien imaginés que tu les as matérialisés
nos corps s'aimant tels des aimants avec nos courants parallèles nos mêmes instincts avec nos courants fluviaux se laissant aller dans le même sens nos champs magnétiques nous attirant si étroitement au plus près l'une de l'autre l’une devant l’autre nues mains dans les mains yeux dans les yeux nous marierons nos pays à l’autel de nos présences retrouvées nous unirons l'un à l'autre toi ma Provence et moi ton Québec en une seule personne
© Marie Cholette, le 12 octobre 2011. Tous droits réservés.